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Moyen Atlas Maroc

11 mai 2013

MAROC,

 

MR34005N

Ecotourisme Au Maroc

                    Relativement nouveau au Maroc, l'écotourisme est un produit de plus en plus attractif  tant  au niveau   national  qu'au niveau  international, il  consiste  à mettre en  valeur des  milieux  naturels  exotiques à l 'état  sauvage,  ou  peu affectés  par  l'activité  humaine,   ou  encore  des  milieux originaux, fruits d'un aménagement   ingénieux  des  hommes  tels  que  les  oasis

                Il se trouve que dans notre pays, certains milieux naturels sont attractifs  simplement par leurs caractéristiques intrinsèques :

 

Grandes Etendues :

Déserts, Mers, Montagnes, Forêts.  Formes de reliefs, Beaux   paysages, Gorges, Canyons, Cascades, Ergs, Hamadas, Forêts, Sommets,Anciens volcans, Rivières et Oueds, Verdures et Fraîcheur, Air pur, Soleil, Plages etc.  

normal_bouregreg_sal_Activités Sportives et de Loisirs :

D'autres, milieux sont convoités en raison des activités sportives et de loisirs qu'ils peuvent abriter :

-

 

 Ski de pistes et ski de fond, séjours neige, randonnées pédestres, Randonnées  équestres, Randonnée à dos de chameau, ou à dos de mulet ou à dos d'âne, chasse et pêche touristique, rafting et canoës / kayak, raids (4x4), raid auto-Moto, Escalade, Alpinisme, Spéléologie, Vélo Tout Terrain,  jet ski, Surf, Windsurf, Marathon, Ski de sable, Golf, Tennis, Vol voile, Quade, Karting, Parapente, Aile delta, etc.

Mais d'une manière générale

le milieu naturel est en lui-même assez suffisant pour la pratique de ces activités.

 

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 Blogger: mahi_abdellah@yahoo.fr  / marva.blog4ever.com

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24 mai 2010

Balades_Forestières_Moyen_Atlas

P5210030

 

BALADE PEDESTRES : Entre 04 heures et 04h ½ de marche effective, niveau facile. Départ e à 07h30mn.              

BALADE EN VELO TOUT TERRAIN : Proposition de 18km de piste  (19 Km de route).

BALADES  EN VTT VELO TOUT TERRAIN   DANS LA PROVINCE D'IFRANE:

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 OPTION 1:

Etape de 37 km dont 18 km de piste et 19 km de Goudron.

L’étape  commence du lac Aoua 1600 m , nous allons prendre la piste de Dayet Aoua vers Dayet Hachlaf en passant par une belle forêt de chênes verts et des cèdres pour arriver au col de 1980 qui domaine toute la forêt du pain maritime, puis une descente vers le Dayet Hachlaf 1730 m on passant par un 2eme  col de 1820 m avant de prendre la route goudronnée vers Ifrane qui nous ramènera jusqu’au un col de 1820 m, ensuite empruntez la route de Boulemane jusqu’au centre  d’ifrane. Il est possible aussi de  faire l’étape à l’inverse et finir à dayet Aoua.

 

 

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OPTION 2 : 

Etape de 34 km 7 km de piste et 27 de goudron.

L’étape commence à 8 km d’Azrou vers la route du Midelt (Moudmam Carrefour Cèdre Gouraud, Timahdite, Affenouri). Au carrefour cèdre Gouraud / Ain Leur 1730m là nous prendrons notre vélos pour parcourir un chemin qui file la belle forêt de chênes verts et cèdres pour arriver sur un grand plateau de pâturage ( Estivage des éleveurs nomades ) puis regagner de nouveau la belle forêt de Am el Quaid 1800 m en empruntant la route d’affenourir pour revenir vers Tagounit 1550 m par la même forêt de Am El quaid sur une belle piste et ensuite la route goudronnée de Aicha M’barek, Kherzouza avec ses splendides paysages et ces belles forêts de chênes verts fin d’étape à Azrou 1300 m retour en transport vers Ifrane.

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19 mai 2010

La très belle région du Tafilalet.

 blogger:  mahi_abdellah@yahoo.fr  / marva.blog4ever.com 

 Pastoralisme_vers_Midelt

 

La très belle région du Tafilalet.

                        Berceau de la dynastie Alaouite, la belle région du Tafilalet est mondialement connue pour sa très longue suite de palmeraies, aussi riches les unes que les autres qui conduit à Er-Rachidia, Erfoud et Rissani.

                       Les ksour succèdent aux ksour (singulier ksar : lieu fortifié). Les tours carrées de ces fiers villages montent la garde sur la vallée, et témoignent d'un temps où elles abritaient les vaillants guerriers qui surveillaient le passage de l'or et du négoce vers l'Afrique noire.

Ksours_Erfoud

                       L'une des plus importantes oasis du Maroc, alimentée par les oueds Ziz et Rhris, est Erfoud qui fut construite à l'époque du protectorat, au pied du Jbel Erfoud, pour servir de centre militaire et administratif.

                       Le fort militaire de Borj, qui surplombe le village, offre une vue spectaculaire sur la palmeraie, la vallée de l'oued Ziz et le grand désert marocain.
                       La richesse du Tafilalt a été de tout temps les dattiers. Du Ziz aux premières rides du Djebel Sargho, et à la ligne bleutée de la Hamada du guir, on compte plus d'un million de palmiers, qui donnent une vingtaine de qualités différentes de dattes, dont on célèbre chaque année à Erfoud, au mois d'octobre, la fête traditionnelle qui est l'occasion d'un grand moussem et d'une importante foire.

R_gion_Azrou

                      Près d'Erfoud (gazelle en berbère), à 15 km au Sud-est, se trouvent les carrières de Goniatite, un marbre noir constellé de fossiles. On exploite ce marbre fossilisé des orthocènes qui remontent à 360 millions d'années. D'une grande valeur commerciale, il sert à la fabrication de plusieurs objets utilitaires et de bibelots.

 

                    D'autre part, le tannage des peaux de chèvres, à l'aide de l'écorce de tamaris, pour la fabrication du cuir filali, renommé dans le monde entier pour la confection par des artisans d'articles divers, sacs, portefeuilles, babouches,etc., fait vivre des milliers de personnes, et constitue l'une des principales exportations de l'artisanat marocain.

Lac_Ouiouane
                    Dans la seule région d'Erfoud, poussent près d'un million de palmiers. Normal que la datte en soit le symbole. D'autre part, la ville d'Errachidia dite Ksar Souk par les anciens et Imtaghren par les Amazighs, est située dans la région présaharienne du Tafilalet (Sud-est du Maroc), compte 45.000 habitants avec une superficie d'environ 20 km2.

                   La région connaît un climat qui se caractérise par sa sécheresse et son aridité. La pluviométrie y est faible et irrégulière (entre 150mm en plaine et 300mm en montagne). Les températures peuvent atteindre facilement les 50°C en été et -4  en hiver, les vents y sont aussi fréquents.
Moto
                  Errachidia qui constitue la capitale de la province du même nom, qui comprend d'autres villes moins grandes, on cite Rich, Gourrama, Goulmima, Erfoud, Rissani, Boudenib… ainsi que des communes urbaines et rurales. La majorité de la population dans la province est agraire.

                Ville administrative et chef-lieu de la province d'Er-Rachidia, cette localité est, à l'origine, une base militaire de légionnaires qui fut construite sous le protectorat sur la rive droite du Ziz par les Français. Les quartiers modernes ont des rues rectilignes qui permirent de loger les habitants des villages noyés sous les eaux du barrage. 

                 Sans prétention particulière, Er-Rachidia est une étape, proposant ses hôtels à la croisée des chemins de la route pour Fès au nord, d'Erfoud au sud, de Ouarzazate à l'ouest et de Figuig à l'est. Au nord, la route longe les eaux vertes du barrage Hassan El Dakhil.La ville de Rissani, quant à elle, se trouve être un gros bourg situé à la lisière du désert qui fut l'ancienne capitale de Tafilalet avant d'être supplantée par Er-Rachidia. Elle est surtout une ville saine conservant quelques ouvrages d'époque :

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                le mausolée de Moulay Ali Chérif (reconstruit en 1955 ), dont on remarque le minaret ; une intéressante casbah du XIIIe siècle partiellement reconstruite par Moulay Ismail au XVIIe siècle, les ruines du Ksar Akbar qui abrita entre autres les trésors royaux derrière un triple rempart défendu par des canons et plusieurs centaines de soldats et le magnifique ksar d'Oulad Abd El Halim  autrefois appelé «L'Alhambra du Tafilalet ».      

                      Par Mohammed  Drihem

 

 

17 mai 2010

Moussem des fiancailles d'Imilchil_MAROC

Imilchil11Imilchil2_21       Imilchil21

Thema "  Le Moussem des fiançailles d'Imilchil "  Fin Aout début  septembre".

VIDEO : http://www.dailymotion.com/video/xbm48s_imilchil-moussem_travel 

 Le face à face ou le côte à côte !                                                                                                                          Se marier au Maroc, c'est mener à bien de très minutieuses stratégies économiques politiques et sociales.Quand on fouille bien dans les rites et coutumes afférentes aux mariages, on leur trouve toujours de très bonnes raisons, conditionnées par le statut de la terre, les guerres intertribales ou leur éventualité et les raisons internes aux différents groupes familiaux qui sont extrêmement stratifié.

Les mariages au Maroc sont aussi un ensemble de rites et de vécus qui donnent lieu à des cérémonies hautes en couleurs ou le folklore trouve son compte. Ils forment l'ossature d'une société.  Il est devenu d'usage lorsqu'on parle de la relation entre l'homme et la femme d'exprimer le souhait  " qu'ils soient côte à côte et non face à face ".                                                                                  

 Imilchil, un autre Maroc

Imilchil, les trois syllabes qui composent le toponyme, par leur douce résonance, induisent le curieux en erreur. Il s’apprête à jouir de climats paisibles, il tombe sur une rudesse inimaginable. A commencer par la route qu’il emprunte. Interminable (700 km, depuis Casablanca, si l’on passe par Midelt); jamais ennuyeuse, il faut l’avouer. Le regard se repaît d’une suite ininterrompue de paysages aussi enchanteurs que contrastés : champs fertiles, forêts denses, hauteurs imposantes, vallées verdoyantes, rivières cristallines, sols ingrats, oueds asséchés...

Repu, le voyageur se met à compter la distance qui le sépare de son lieu de destination. Arrivé à Rich, il croit entrevoir le bout du tunnel. Plus que 135 km. Une broutille... Erreur ! c’est à partir de là que les choses se compliquent. L’ancienne piste, bitumée en 1998 seulement, est escarpée, sinueuse, difficulteuse, et surtout affreusement étroite. Deux véhicules ne peuvent pas s’y croiser. L’autocar dans lequel nous nous trouvons avance comme une tortue. Dès qu’il pointe son immense carcasse, les muletiers se rangent prudemment sur le bas-côté, les poules poussent des cris d’orfraie, les moutons sont pris de panique.

 Rich-imilchil : 135 km, six heures de route par temps orageux: Le paysage s’habille d’ocre. Il consiste en une ligne de montagnes dénudées qui laissent s’épancher à leurs pieds une plaine ondulante de rocailles. Dans ce désert de pierres et de terre, pousse, par endroits, une mince couverture végétale, prise d’assaut par les troupeaux de moutons. On recense 140 000 ovins dans la région. Ils en constituent la principale ressource mais y provoquent aussi de considérables dégâts. Car le surpâturage, ainsi que nous l’explique Hrou Aboucharif, directeur de l’association Adrar, «finit par détruire le couvert végétal, lequel représente le seul moyen de lutte contre l’érosion hydrique». D’où les inondations qui accompagnent comme une mauvaise ombre la moindre averse.

 Aux abords de la vallée de l’Assif Melloul, le paysage change. Au milieu des montagnes aux sillons profonds creusés par le vent, l’oued essaime sur son passage les jardins, les cultures, les arbres. Une longue écharpe de verdure s’étend à perte de vue. Un vert d’une vigueur et d’une tendresse indescriptibles éclate, exhalé par le maïs, la luzerne, les pommiers et les noyers. Le cagnard n’est plus qu’un radieux souvenir, les nuages s’allongent, le ciel prend une couleur noire, puis l’orage éclate. Dix minutes plus tard, l’autocar faillit s’enliser. Des traînées de pierres se sont amoncelées sur la route. Il faut dégager la voie. Les orages d’été, nous apprend Hrou Aboucharif, peuvent déverser 40 mm d’eau en 15 minutes. «Toute cette eau coule dans l’oued, qui déborde et cause des dégâts». Elémentaire, mon cher Watson, mais combien cruel.

 50 ha de pomme de terre dévastés par les crues de l’Assif Melloul: Indifférent au déluge, un paysan, sa faux à la main, contemple le désastre. Son potager est désormais submergé par une eau boueuse. Déjà la semaine précédente, les crues de l’Assif Melloul ont saccagé 50 ha de pomme de terre, soit un million de dirhams partis en fumée, perte immense pour une population dont le revenu moyen par habitant n’excède pas 2000 DH par an. Plus loin, une vieille femme arrache herbe et sarments au sol, qui serviront à nourrir le bétail, à attiser le feu quand la nuit sera tombée. «Le problème, c’est que ces femmes déracinent les buissons qu’elles arrachent, détruisant ainsi le couvert végétal», se désole Hrou Aboucharif.

 L’averse s’arrête d’un seul coup. Nous pouvons reprendre la route. Une nuée d’enfants déboulent des hauteurs. La litanie des 4 x 4 suscite leur curiosité. Quand une voiture s’arrête, ils s’agglutinent autour, quémandant pièces de monnaie, bonbons, cahiers et stylos. Cahiers et stylos, on se demandent ce qu’ils vont en faire, vu que seuls 37 % d’entre eux sont scolarisés, dont 7 % de jeunes filles. «Je ne comprends pas pourquoi les autorités exigent que nous envoyons nos enfants à l’école. Nous n’avons pas les moyens de leur acheter les fournitures, puis les établissements sont souvent fermés l’hiver à cause de la neige, enfin nos enfants nous sont plus utiles aux champs et aux pâturages», s’étonne Moha. Quatre hommes, adossés à un muret jaune, interrompent leur conversation, pour lui donner raison. A quelques pas, deux vieillards se tiennent compagnie, les yeux clos. A quoi rêvent-ils ? Mystère et boule de gomme.

Trois heures plus tard, nous voilà arrivés en fin à Imilchil. Le village mérite bien son nom. Il est effectivement un «Imi n’lkil», c’est-à-dire une «porte d’approvisionnement». Mais à part son effervescence mercantile, il ne vaut pas le détour. Ce n’est, après tout, qu’un gros bourg, sans âme et sans attraits. Cependant, il s’est transformé grâce au Festival des musiques des cimes, qui y plante son décor du 25 au 27 août.

 Attirés par la rumeur qui palpite dans l’unique artère d’Imilchil, nous l’empruntons. Bordée d’hôtels, d’auberges, de cafés et d’épiceries, elle est arpentée, ce soir-là, par une foule bigarrée, héréroclite, joyeuse, qui brave l’obscurité ambiante. Le seul groupe électrogène dont dispose le village a rendu l’âme, encore une fois. D’ailleurs, on s’en passerait bien, vu qu’à lui seul, il absorbe 40 millions de centimes d’un budget qui ne dépasse pas 126 millions. Mais les visiteurs ne s’en accommoderaient pas. Eux qui déjà essuyent le désagrément de ne pas pouvoir faire leur toilette, faute d’eau. Pourtant «le puits d’Imilchil est creusé jusqu’à 51 m, il est constamment plein jusqu’à 45 m. Il alimente deux châteaux d’eau. Malheureusement, la pompe tombe souvent en panne», précise Hrou Aboucharif.

Habitués à ces défaillances, les commerçants, les restaurateurs et les cafetiers ne se démontent pas. Loin s’en faut. Leurs visages brûlant d’une lueur ocre, pareille à la flamme des bougies, sont radieux. Les affaires tournent à plein régime. Hamou, un colosse hilare, bénit le festival, qui lui permet de gagner, en quatre jours, de quoi passer confortablement l’hiver.

 Le Festival des musiques des cimes rapporte 200 000 DH à Imilchil: Deux cent mille dirhams, en moyenne, voilà l’écot versé par le Festival des musiques des cimes à Imilchil. Une manne pour cette région déshéritée. La nuit tombe maintenant, et l’incessant mouvement ne faiblit pas. Certains font leurs emplettes, d’autres papotent à la terrasse des cafés, sur fond de sons et de rythmes surgis du lieu du festival, la plupart se pressent vers celui-ci pour en recueillir les senteurs épicées. Djellabas et handirs y côtoient mini-jupes et jeans serrés. En somme, un Maroc antique et moderne, intemporel et impatient, vibrant à l’unisson au tamawayt de Milouda, aux complaintes de Françoise Atlan et aux rythmes de l’ahidous de Aït Hdidou.

 La tête encore étourdie par le déluge de sons et de chants, nous mettons le cap sur le lac Tislit, à 8 km d’Imilchil. Le ciel est semé d’étoiles, la lune projette son jaune vif sur l’eau assoupie, le calme est absolu. L’instance est propice pour évoquer la légende de Tislit et Isli. Celle, raconte-t-on, de Hadda et Moha, éperdument amoureux l’un de l’autre, mais condamnés, par leurs clans respectifs et ennemis, les Aït Brahim et les Aït Azza, à ne jamais célébrer leur union. De douleur, ils pleurèrent, séparément, à chaudes larmes, tant et tant que deux lacs se formèrent de leurs sanglots. D’austères philologues vous diront qu’en fait Isli et Tislit ne seraient que des formes dénaturées d’Izli et Tizlit, qui signifieraient, en vieux amazigh, lac et petit lac. Ne les écoutez surtout pas et laissez-vous bercer par la légende !

 Le lendemain, nous nous retrouvons plongés dans le moussem d’Imilchil. Foire annuelle, il est un lieu d’échanges et de rencontres, entre les deux fractions principales de la tribu des Aït Hdidou, les Aït Brahim et Aït Azza. Les nomades sont descendus de la montagne. La foule se presse dans les allées boueuses. Les appels des bonimenteurs se mêlent aux bêlements des moutons, aux mugissements des vaches et aux braiments des ânes.

 Polyphonie attachante. Une chèvre rechigne à se faire embarquer dans un fourgon antédiluvien. Les badauds se réjouissent du spectacle. C’est jour de fête. Imilchil vibre d’une énergie vitale et simple. Les couleurs vous sautent aux visages : le blanc et noir des capes des femmes des Aït Azza, le bleu foncé de celles des femmes d’Aït Brahim, le carmin et le jaune safran dont elles maquillent leurs joues. Les odeurs pullulent, celles des montagnes de graisse sont entêtantes. Pour les Aït Hdidou, la graisse est une denrée vitale. Elle tient au corps pendant le rugueux hiver.

 Et ils s’en servent pour donner goût à leur kesra, ou à leur ahrir ou encore à leur ragoût de pommes de terre. Ahmed, nomade, vient d’en acheter par douzaine de kilos. Tout à l’heure, il conduira sa fille sous la tente des adouls, pour entériner la promesse de mariage. Lui a changé quatre fois d’épouse.

«Vous savez, elles s’usent très vite. Et il faut en changer de temps en temps pour renouveler sa force». La Moudawana, Ahmed en ignore jusqu’à l’existence. Quant à «l’usure», elle guette bel et bien les femmes d’ici. Elle est leur lot, tant elles sont considérées comme des bêtes de somme.

 Ce sont elles qui font le ménage et la cuisine, cueillent les fruits et les légumes du verger, ramassent le bois, nourrissent le bétail... et attrapent de sales maladies. Omar Chiban, président de l’Association Adrar, nous révèle que sur 500 femmes auscultées, il y a deux jours, par deux gynécologues dépéchées par le ministère de la Santé publique, 80 % présentaient une infection sexuellement transmissible. Un sinistre record.

 80 % des 500 femmes auscultées sont atteintes de maladies vénériennes

Depuis sa création, en 1991, l’Association Adrar se préoccupe de tous les maux qui minent la cinquantaine de villages plantées dans la région d’Imilchil. Omar Chiban n’est pas peu fier d’énumérer quelques-unes des œuvres d’Adrar : contribution aux campagnes de vaccination lancées par le ministère de la Santé, de 1990 à 1996 ; construction d’un dispensaire dans un douar situé à 45 km en amont d’Imilchil ; équipement de 17 villages en eau potable ; création d’activités génératrices de revenus; installation de groupes électrogènes dans six villages ; plantation de 80 000 pommiers et 15 000 peupliers... et, surtout, protection de l’environnement contre toute agression mercantile. «La nature est la richesse inestimable de la région d’Imilchil. Nous tenons à ce qu’elle ne soit pas défigurée. Nous ne voulons avoir ici ni industrie touristique, ni clubs internationaux», insiste Omar Chiban.

 Il est vrai que la magie vous prend à chaque détour, à chaque virage. Les paysages, tout en montagnes rocailleuses, en plaines terreuses, en déserts de pierre parfois parsemés de verdure, sont d’une noble austérité. Mais hors ce charme, il n’y a rien à faire de particulier à Imilchil. Sauf l’essentiel : se laisser vivre, oublier le temps qui passe, lâcher prise, se fondre au milieu de la population. Goûter à la difficulté de vivre, à la précarité, savourer la simplicité des gens d’ici qui répondent par le sourire à leur indigence, comme s’ils étaient détachés des carcans matériels. C’est leur façon de montrer que «amazigh» signifie homme libre.

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1 mai 2010

Ecoutourisme Maroc Multiactivités.

 La région dIfranevous offre, loin des flots touristiques. Des randonnées dans des contrées méconnues et sauvages, une région attrayante pour le climat, le relief, la géologie, la géomorphologie et la couverture végétale.  Ce massif offre des paysages d'une valeur et d'une beauté inestimables, des paysages splendides, des cours d'eau et des lacs féeriques, des forêts d'un attrait inégalable et un milieu socioculturel unique. Nos voyages sont organisés dans un esprit de rencontre et de convivialité. 

Merzouga

 

Sites d’intérêt touristique : « Wilaya de Meknès-Tafilalet 

 

Sites archéologiques :

Vestiges de Volubilis : Ancienne cité romaine, classée patrimoine universel de l’humanité par  

l’Unesco, qui comprend la maison d’Orphée, les thermes de Gallieh, le temple de Vénus, le célèbre Arc  

de Triomphe de Caracalla et autres. À 3 km de Moulay Idriss.

Vestiges de Sijilmassa : Site archéologique témoignant de l'époque de rayonnement culturel et  

commercial de la cité de Sijilmassa du 8ème siècle, entouré d'un énorme rempart sur un rayon de 9 km 

À l’entrée de Rissani, un musée présente les trésors préservés.

 

Sites et monuments historiques :

Meknès : Ville impériale et ancienne capitale de Moulay Ismaïl, l’un des premiers monarques du Maroc,  

Meknès a été classée patrimoine universel de l’humanité par l’Unesco en 199

 

Moulay Idriss : Première cité musulmane en Afrique du Nord, Zerhoun évoque le règne de Juba II, roi  

de Maurétanie. Cette petite ville, aujourd’hui connue sous le nom de Moulay Idriss, est perchée à flanc  

de montagne et surplombe de vastes plantations d’oliviers ainsi que les ruines de Volubilis, ancienne  

cité romaine. Possède l’unique minaret cylindrique du Maroc. À 22 km de Meknès.

Ville de Rissani : Ancienne capitale économique du Maroc et berceau de la dynastie alaouite, Rissani  

porte les vestiges d’un ancien carrefour où transitaient les caravaniers du Maroc, du Mali et du Niger en  

route vers le Soudan pour y exporter métaux, étoffes, dattes et se

Bab Mansour : La porte Bab Mansour, la plus imposante du Maroc voire de l’Afrique du Nord, est  

l’une des plus belles oeuvres de Moulay Ismaïl. Achevée en 1732, cette porte et son arche donnent  

sur les somptueuses constructions de la ville impériale. Elle abrite aujourd’hui une galerie d’art.  

Meknès.

 

 

 

Grenier et écuries : Gigantesque ensemble architectural édifié par Moulay Ismaïl pour  

l’approvisionnement en eau et aliments pour les habitants et les chevaux. Site exceptionnel pouvant  

être exploité pour l’animation, le tournage de films ou autre. Meknès.

 

 

Bassin Agdal : Grand bassin d’accumulation d’eau de 319 m de long, 149 m de large, édifié par  

Moulay Ismaïl pour irriguer les jardins du palais royal et constituer une réserve d’eau pour la médina.  

Cadre agréable pouvant être aménagé en espace de loisirs (pédalos, restauration…). Meknès.

 

 

Palais Dar El Makhzen : Ancienne demeure officielle de Moulay Ismaïl et demeure officielle du Roi  

actuel, le palais est bordé de deux impressionnantes murailles qui courent sur 2 kilomètres. Meknès.

 

Prison de Cara : La prison, composée de silos souterrains, porte le nom de Cara, architecte et  

prisonnier portugais. Meknès.

 

Salle des ambassadeurs : Pavillon, au toit pyramidal de tuiles vertes, au sein duquel le sultan Moulay  

Ismaïl recevait les ambassadeurs et les émissaires étrangers. Il porte la plaque commémorative du  

classement de la Ville de Meknès par l’Unesco comme patrimoine universel de l’humanité. Meknès.

 

 

Bab Lakhmis : Grande porte décorée d’inscriptions, de sculptures et de mosaïques, construite au  

XVIIème siècle par Moulay Ismaïl. Meknès.

 

Bab Berdaïne : Porte majestueuse édifiée par Moulay Ismaïl au XVIIème siècle. Meknès.

Faundouk El Hanna : Complexe culturel et propriété des Habous. Meknès.

Haras de Meknès : Créé en 1914 en tant qu’établissement de remonte militaire, il devient un centre  

d’élevage de chevaux en 1947. Le Haras oeuvre pour l’amélioration génétique de la population  

chevaline. Meknès.

 

 

Ksar Mansour : Palais et grenier du Domaine Public. Meknès.

Ksar Meski : Ancien ksar marqué par son authenticité, situé à proximité de la source Bleue de Meski à  

Errachidia.

 

Ksar El Maâdid : Sillonné de ruelles très étroites, le ksar est muni d’une porte imposante et splendide. À  

1 km d'Erfoud.

 

Ksar Oulad Abdelhalim : Construit en 1263 de l'Hégire (1863) par le Sultan Sidi Mohamed Ben  

Abderrahmane, le ksar est situé à 4 km de Rissani.

 

Ksar Abouaâm : Muni d’une immense porte, le ksar conserve toujours sa fonction culturelle et le Coran  

y est enseigné. Situé au centre de Rissani.

 

Ksar Haroun : Ancien ksar marqué par l’authenticité de son architecture. Rissani.

Ksar El Fida : Ancien ksar peuplé et marqué par son authenticité. Facile d’accès. Rissani.

Carrière de fossiles : Site intéressant pour les géologues, où l’on trouve trois sortes de fossiles :  

ammonite, orthocère et coriatites. La pierre d'Erfoud s'intègre dans un ensemble décoratif et  

architectural moderne. Située à 13 km d'Erfoud vers Merzouga.

 

 

Borj Est d'Erfoud : Vieille forteresse offrant une vue panoramique sur Erfoud, sur la vaste palmeraie du  

Ziz ainsi que sur les ksours avoisinants. Situé à 2 km d'Erfoud vers Merzouga.

 

Ksar Igoulmimne : Marqué par deux portes monumentales. Errachidia.

Gravures rupestres : Site historique situé à Taouz, qui remonte à l'époque  

romaine. À 76 km d'Erfoud.  

Peut être exploité dans des circuits touristiques et des randonnées chamelières.

 

 

Village de Tinrghrass : Village pittoresque, à 40 km de la ville de Rissani.

Village des Potiers : Ancien village marqué par son authenticité, situé à Tadighouste.

Ksar de M'aarka : Ancien village marqué par l’authenticité de son architecture, situé à Aoufous.

  

Khattarat : Système d’irrigation très ancien, entre Tinejdad et Rissani.

 

Ksar Sidi Bouabdellah : Errachidia.

Kasbah d’Agouraî : Edifiée par Moulay Ismaïl. El Hajeb.

Kasbah d'El Hajeb : Edifiée par Moulay Ismaïl. El Hajeb.

Remparts ismaïliens : Edifiés par Moulay Ismaïl. El Hajeb.

Pont « portugais » : Construit par le Sultan Moulay Ismaïl pour joindre les deux rives de la rivière Oum  

Rabiâ, le pont servait autrefois à faciliter le passage des troupes militaires et des caravanes  

commerciales. Khénifra.

 

 

Kasbah d'Adekhssal : Forteresse bâtie par le Sultan Morabite Youssef Ben Tachfine, restaurée par le  

Sultan Alaouite Moulay Ismaïl. Khénifra.

 

Kasbah Moha Ou Hamou Zayani : Édifiée au 9ème siècle, cette forteresse est l’ancien quartier général  

de Moha Ou Hamou Zayani et le lieu qui servait à la collecte des impôts. Nécessite une réfection et un  

aménagement des environs. Khénifra.

 

 

Kasbah Miâmi : Édifié au 19ème siècle par le fils de Moha Ou Hamou, ce palais respecte la tradition  

architecturale de l’époque. En bon état, il pourrait être aménagé en maison d’hôtes. Khénifra.

 

 

Musées et medersa :

 

 

Palais Dar Jamaï : Édifié en 1882 par le Vizir Abou Abdellah Mohamed Jamaï, sous le règne du Sultan  

Moulay Hassan I (1873-1894), l’architecture somptueuse du palais comprend des décors de zelliges, de  

bois peint, de plâtre sculpté ainsi qu’un jardin d’inspiration maroco-andalouse. En 1926, il est aménagé  

en musée d’arts marocains et ethnographiques. Dans ce lieu qui témoigne de la haute bourgeoisie  

marocaine de la fin du XIXème siècle, on peut aujourd’hui admirer des collections de l’artisanat  

Meknassi, du Moyen atlas et du Pré-Rif : sculpture sur bois, tissage, broderie, ferronnerie, orfèvrerie,  

dinanderie, maroquinerie et autres. Meknès.

 

 

 

 

 

 

 

Medersa Bouanania : Institution de théologie, fondée par le Sultan Abou Hassan Marini (1331-1351),  

qui comprend un vaste patio et un étage où sont aménagées 26 chambres d’étudiants (tolbas).  

Meknès.

 

 

Medersa Filalia : Édifice historique à caractère éducatif et religieux, édifié en 1789 par Moulay Ismaïl.  

Meknès.

 

 Ediffices  

religieux :

 

Mausolée Moulay Ismaïl : Édifié par Ahmed Eddahbi, le mausolée abrite le tombeau de Moulay  

Ismaïl. Seul mausolée, avec le Mausolée Mohamed V à Rabat, ouvert aux non musulmans. Rénové  

en 1972 par le Roi Hassan II. Meknès.

 

 

Mosquée Néjjarine : Située au centre de la médina, il s’agit de la mosquée la plus ancienne et date  

du Xème siècle. Meknès.

 

Grande mosquée : Érigée au XIème siècle par les Almoravides, la grande mosquée est un trésor de  

l’architecture ancienne, avec ses 11 portes et ses 143 arcades. Meknès.

 

Jamâa Roua : L’une des plus belles mosquées en raison de son architecture et de sa dimension.  

Construite en 1790 par Sidi Mohamed Ben Abdellah. Meknès.

 

Mausolée Cheikh El kamel : Édifié par Sidi Mohamed Ben Abdellah, il cache le tombeau d’El Hadi  

Benaïssa, fondateur de la confrérie « Aïssaoua ». Meknès.

 

Mausolée Moulay Ali Chérif : Le mausolée, d’inspiration arabo-musulmane, abrite la tombe de Moulay  

Ali Chérif, premier fondateur de la Dynastie Alaouite. Construit en 1955. Errachidia.

 

Bibliothèque Abou Salim : Le lieu de culte Sidi Hamza abrite la bibliothèque Abou Salim, fondée au  

10ème siècle et contenant plusieurs manuscrits et livres de grande valeur. Située à 37 km de Rich.

 

Tombeaux du Pèlerin Sidi El Ghazi : Rissani.

Mausolée « Souk El Gour » : Ruines. El Hajeb.

Sanctuaire de Moulay Bouazza : Une fête est organisée chaque année en l’honneur de Abi Yaâza Ben  

Abderrahmane, considéré comme la référence du soufisme au 6ème siècle de l’hégire. L’événement  

annuel attire un public nombreux. Khénifra.

 

 

Sanctuaire Charif Idrissi Mohamed Ben M'Barek : Surnommé Zaari, Charif Idrissi Mohamed Ben  

M'Barek a pris part à la confrontation de la rivière Al Makhazine. Son sanctuaire a été restauré par les  

sultans Moulay Ismaïl et Moulay Rachid et attire de nombreux pèlerins venant de toutes les régions.  

Khénifra.

 

 

 

Sanctuaire Sidi Yahya Ou Youssef : Fête annuelle organisée à partir du 27 août, qui attire un large  

public. Khénifra.

 

Places et jardins :

Place Lalla Aouda : Dominée par la mosquée du même nom et longée par les remparts de Dar El  

Kebira, premier palais de Moulay Ismaïl, la Place Lalla Aouda abrite aujourd’hui un magnifique jardin.  

Meknès.

 

 

Place Lahdim : Conserve les souvenirs de l’adoption de la ville de Meknès comme capitale du Maroc  

par Moulay Ismaïl. Meknès.

 

Golf Royal : Aménagé en 1971, le Golf Royal est situé est situé dans l’enceinte des murailles du  

palais de Moulay Ismaïl et comprend un parcours de neuf trous. Il s’agit de l’unique terrain de golf au  

monde qui se ferme à clé et qui permet aux golfeurs de pratiquer leur sport préféré à la tombée de la  

nuit. Meknès.

 

 

 

Jardin Lahboul : Situé dans la Médina de Meknès, le jardin est composé d’un zoo et d’un théâtre en  

plein air. À exploiter en matière d’animation et de loisirs. Meknès.

 

Jardins suspendus : Terrasse du grenier de Moulay Ismaïl sur laquelle des jardins ont été  

aménagés. Nécessite un réaménagement complet. Meknès.

 

Vue panoramique : Dans le quartier Belle Vue, de la rue El Mariniyine, superbe vue d’ensemble sur  

la médina, une sorte d’invitation à visiter la ville. À aménager et exploiter avec sons et lumières.  

Meknès.

 

 

  

Manifestations culturelles :

 

 F 

estival de Volubilis : Fête culturelle et touristique autour des cultures méditerranéennes.  

Septembre.

 

 

Festival du Cheval : Spectacle équestre époustouflant. Meknès.

Fantasia : Spectacles équestres traditionnels où cavaliers et chevaux se livrent à des courses  

effrénées, avec panache et adresse.

 

Moussem des fiançailles d’Imilchil : Fête touristique organisée chaque année à la fin du mois de  

septembre pour célébrer les fiançailles des jeunes de la région.

 

Moussem des dattes d’Erfoud : Fête touristique pour célébrer la récolte des dattes fin octobre.

Fête du pommier à Midelt : Événement économique et touristique qui s’étend sur 3 jours, fin  

septembre ou début octobre.

 

Festival des musiques du désert : Événement touristique et culturel, organisé en septembre à  

Merzougha.

 

Rencontre du Melhoune : Fête culturelle et touristique pour célébrer l’arrivée du printemps. Rissani-  

Erfoud.

 

Festival des musiques des cîmes : Événement culturel et touristique qui a lieu fin août. Errachidia.

Université autonome Moulay Ali Chérif : Événement culturel organisé chaque année au cours des  

deux premières semaines de décembre dans la Ville de Rissani.

 

Fêtes religieuses : Fête de Moulay Driss Zerhoune, de la 4e semaine d’août à la 3e semaine de  

septembre. Fête de Cheikh El Kamel, en juin. Fête de Sidi Ahmed Dghoughi, en juillet. Fête de Sidi  

Ali Ben Hamdouch, en juillet.

 

 

Fête du Mouloud : Célébration de la naissance du prophète.

Semaine culturelle et touristique de Khénifra : Durée de 7 jours.

Semaine culturelle de M'rirt : Durée de 7 jours.

Commémoration de la bataille de « Lahri ». Événement culturel qui a lieu les 12, 13 et 14 novembre.  

Khénifra.

 

Festival Provincial du Théâtre. Événement culturel. Khénifra.

Festival des Arts Plastiques. Événement culturel. Khénifra.

Journée du Cheval. Événement touristique. Khénifra.

Journée de la Forêt. Événement agricole. Khénifra.

Saison Provinciale de l'Artisanat. Événement culturel. Khénifra.

 

Sites d’intérêt écotouristique et touristique :

 

 

Sources naturelles et thermalisme :

 

 

Source Vittel (cascade de la vierge). La source est entourée d’un parc. Lieu idéal pour la détente et  

les pique-niques. Site à valoriser dans le respect du paysage végétal existant. Accès par une piste de  

0,5 km, à 3 km d'Ifrane sur l'ancienne route de Meknès.

 

 

 

Hammat Moulay Ali Chérif. Cette source thermale est aménagée de bassins et de blocs sanitaires.  

Recommandée. À 40 km d'Errachidia vers Meknès et à 20 km de Rich.

 

Hammat Moulay Hachem. Station thermale aménagée d’un café et d’une aire de camping.  

Recommandée. À 12 km de Rich et à 4 km de Hammat Moulay Ali Chérif.

 

Source Bleue de Meski. Située au centre d'une magnifique palmeraie, la source offre une vue  

panoramique sur l'ancien Ksar de Meski, aménagé d’une piscine, d’un terrain de camping et d’un caférestaurant.  

À 17 km d'Errachidia vers Erfoud.

 

 

Source de Taseblbate. Le site présente un paysage intéressant : une montagne rocheuse à couleur  

minérale. À 10 km du village de Mellaab, sur la route reliant Tinejdad à Erfoud.

 

Source Aïn El Ati. Cette source, découverte en 1987, fait jaillir un jet d'eau qui s’élève sur plusieurs  

mètres. Située sur la rive droite de la RP21, à 6 km du village Douira.

 

Sources Oum Rabie. À 1 240 mètres d’altitude, plus de 20 sources offrent un débit d’environ 14  

mètres3 par seconde et donnent lieu à de nombreuses cascades qui chutent dans un bassin d’une  

superficie de 1 000 mètres2. Des huttes sont aménagées pour l’accueil des visiteurs ainsi qu’une aire  

de stationnement. À proximité se trouve un lac d’une superficie de 1 000 m2 et d’un périmètre d’environ  

125 m. La végétation émergée est composée de renoncules et de myriophoylles. Parmi la faune, on  

retrouve les gammares, nèpes, lombrics, crabes, grenouilles vertes, petits gastéropodes, oiseaux  

migrateurs ainsi que des poissons, tels que la truite et le saumon brun. À 26 km de M’rirt et à 52 km de  

Khénifra.

 

 

 

 

 

 

 

Sources Arougou. Situées dans la vallée d’Arougou, à 10 km de khénifra, les sources sont un lieu  

d’estivage pour les touristes nationaux.

 

Sources Anzar Oufounas. Résurgence de sources au pied du Mont Mouasker dans sa partie orientale  

avec un débit de 400 L par seconde. Source à régime permanent. Accessible par la piste reliant  

Tounfite et Tirghiste. À côté d’un enclos de mouflons à manchettes. À 16Km de Tounfit vers Agoudim.

 

 

Source Ras El Ma. Source et site de vacances et d'estivage très fréquenté, à mettre en valeur et à  

sauvegarder. À 5 km d'Ifrane vers Azrou.

 

Source Ben Smim. Source et espace pour camping. À 11 km d'Ifrane vers Azrou.

Source Skhounat. Source minérale thérapeutique. Près de Meknès.

Source Moulay Yaâcoub Sghir. Source minérale thérapeutique pouvant être aménagée en station  

thermale. El Hajeb.

 

Source Aïn Boutghzaz. Source naturelle. El Hajeb.

Source Aïn Madani. Source naturelle. El Hajeb.

Source Assalama (Jirri). Source minérale thérapeutique à Aït Ikkou Aït Yaâzem. El Hajeb.

Source Aïn Khadem. Source naturelle, entourée d’un jardin qui pourrait être aménagé pour les  

visiteurs. El Hajeb.

 

Source Aïn Bitit. Source naturelle. El Hajeb.

  

Autres plans d’eau :

 

Lac Afenourir. Zone humide classée dans le cadre de la convention Ramsar pour la protection des  

oiseaux migrateurs. A intégrer dans des randonnées pédestres. À 26 km d'Azrou.

 

Lac Ifrah. Un des plus grands lacs du Moyen Atlas, d’une superficie de 117 ha et d’une profondeur de  

12 m. À 1 400 m d’altitude, le lac abrite 1 500 oiseaux en hivernage et est situé à 20 km d'Ifrane sur la  

route de Michlifen. Fait partie du circuit touristique des Lacs.

 

 

Centre de Pisciculture de Ras El Ma. Centre spécialisé dans l’élevage de la truite, situé à 6 km  

d'Ifrane. À exploiter lors des randonnées touristiques.

 

Cascades du Refuge.  

à valoriser en effectuant de légers aménagements respectueux du cachet local. Accès par une  

piste de 0,4 km, à 7 km d'Ifrane sur l'ancienne route de Meknès.

 

 

Lac Hachlaf. Plan d'eau fréquenté par les amateurs de truite. Lac d’une superficie de 15 ha, situé à 16  

km d'Ifrane sur la route de Michlifen. Fait partie du circuit touristique des Lacs.

 

Lac Ouiouane. Ce lac d’origine semi-artificielle est alimenté par des sources avoisinantes. D’une  

superficie de 20 ha et situé à 1 600 m d’altitude, sa végétation aquatique émergée est composée de  

renoncules et de myriophoylles. Parmi la faune, on retrouve des gammares, nèpes, lombrics, crabes,  

grenouilles vertes, petits gastéropodes, oiseaux migrateurs ainsi que des poissons (brochet, perche,  

carpe, sandre, gardon). En termes de géologie, on y trouve de l’argile et du calcaire. Principale étape  

du circuit touristique allant de la forêt Shed Azrou vers Aguelmam Azegza. À 34 km de M’rirt sur la  

route d’Aïn Leuh.

 

 

 

 

 

 

Aguelmam Abekhane. Le lac naturel, alimenté par des eaux de ruissellement, est d’une beauté  

inédite. Situé à 1 670 m d’altitude, le lac s’étend sur 6 ha, accuse une profondeur d’environ 2 m et une  

capacité moyenne de 120 000 m3. Malgré sa beauté, le lac renferme des minéraux toxiques, tels que le  

plomb, et ne présente donc aucune vie aquatique. Situé à 38 km de Khénifra par la route  

provinciale 24.

 

 

 

 

Aguelmam Azegza. Ce lac naturel situé en pleine forêt de cèdres et de chênes, à 1 474 m d’altitude,  

compte parmi les plus beaux lacs du Moyen Atlas. Alimenté par des eaux de ruissellement et des  

sources sous lacustres, le lac s’étend sur 40 ha et accuse une profondeur de 9 m. Lac d’intérêt  

limnologique, à productivité moyenne. Géologie d’origine karstique ou dolomite. Capacité  

approximative : 3 600 000 m3 . Faune piscicole : brochet, rotengle, gambisie. Faune aquatique : canard,  

poule d’eau. À 32 km de Khénifra.

 

 

 

 

 

Aguelmam Miâmi. Ce lac naturel, alimenté par des sources et un affluent, est peuplé de truites.  

Altitude : 1 600 m. À 1 600 m d’altitude, le lac s’étend sur 80 000 m², accuse une profondeur  

moyenne de 0,4 m et une capacité d’environ 32 000 m3. À 35 km de Khénifra en traversant le plateau  

d’Ajdir et les marais d’Adar Oujdir.

 

 

 

Aguelmam Sidi Ali. Ce lac, situé à 2 100 m d’altitude au pied d'une montagne, est rempli de brochets,  

perches, gardons et carpes. On y retrouve également de nombreux canards, colverts, tadornes,  

grèbes, poules d’eau et foulques. Le lac s’étend sur 170 ha, accuse une profondeur moyenne de 20 m  

et une capacité d’environ 34 000 000 m3. Possibilité de pêche, natation et loisirs. À 25 Km d’Itzer par la  

route provinciale 21.

 

 

 

 

Aguelmam N'aït Ichou. À 1 600 m d’altitude, le lac d’une superficie de 20 ha est situé dans un cratère  

très profond, rempli de brochets. Khénifra.

 

Cascades de Zaouiat. Ifrane.

Lac Aoua. Lac rempli de brochets et lieu de pique-nique apprécié, à sauvegarder. Il s’étend sur une  

superficie de 11 à 12 ha et se trouve à 1 934 m d’altitude. À 17 km d'Ifrane vers Imouzzer.

 

Lacs Tidouite et Tifounassine. Possibilité de pêche à la truite. À 3 km de Timehdite.

Cascades artificielles. El Hajeb.

Rivière Ifrane. Site classé, offrant une vue féerique au moment du lâcher des eaux. Située à 69 km  

d'Ifrane et à 52 km d'Azrou. Possibilités : aménagement du village périphérique et création de gîtes  

d'étapes.

 

 

Rivière Tizguite, Val d'Ifrane. Site paradisiaque très fréquenté. À mettre en valeur en créant des aires  

de pique-niques.

 

Tifounassine. Cette grande mare, attenante à la palmeraie de la rivière Ghris, est entourée de collines.  

À 12 km en aval de Goulmima vers Tadighouste.

 

Barrage Moulay Hassan Eddakhil. Grand plan d'eau construit en 1965 où séjournent de nombreux  

oiseaux migrateurs.

 

Plan d'Eau Zerrouka I. Site apprécié par les pêcheurs sportifs. À 2 km d'Ifrane sur la route de Fès.  

Accès par une piste de 0,5 km.

 

Plan d'Eau d'Aïn Mersa. Plan d'eau aux alentours immédiats d'Ifrane. À 11 km d'Ifrane vers Fès. 

Accès par une piste de 1 km.

 

Plan d'Eau de sidi Mimoun. Plan d'eau pour la pêche à la truite. Etape privilégiée sur le circuit des  

Lacs. À 22 km d'Ifrane et à 5 km du Lac Aoua.

 

Plans d'Eau d'Amghass I-II-III. Plans d'eau aménagés où les pêcheurs se rendent pour y pratiquer la  

pêche de salmonidés et de truites. À 26 km d'Azrou.

 

  

Gorges :

 

Gorges et Sources Tatroute. Situé au pied du Mont Mouasker, à une altitude de 3 400 m.  

Résurgence de sources à régime permanent. Contrastes de reliefs attrayants en forme de U. Neige  

quasi permanente. Khénifra.

 

 

Gorges . Ce carrefour de gorges et de forêts, situé à 2 000 m d’altitude, présente des falaises d’une  

hauteur de 40 m. Le canyon, dont plusieurs galeries arborent un aspect historique, s’étend sur 1 km. À  

25 km de Midelt.

 

 

Gorges d'Ahouli Mibladen. Les gorges sont visitées par des spécialistes de prélèvements de fossiles  

anciennes (ichtyozaure = dynosaure), ainsi que par des touristes marocains et étrangers qui  

collectionnent les minéraux précieux, comme la vanadinite. Le lieu est également ponctué de ruines et  

offre une randonnée agréable par la rivière Moulouya. À 25 Km de Midelt.

 

 

 

Gorges d'Agouraï. Les gorges, entourées de paysages verdoyants, sont situées sur la route reliant 

Rich à Assoul.

 

Gorges de Ziz. Ces gorges sont situées sur la route qui longe la Vallée du Ziz et traverse dans un  

cadre naturel exceptionnel le Tunnel du légionnaire. Ce site, accessible à partir de la station thermale  

de Moulay Ali Chérif vers Errachidia, pourrait être valorisé dans le cadre de randonnées pédestres ou  

équestres.

 

 

 

Gorges d'Imidère. Paysage pittoresque sur le Haut Ghris, situé à Amellagou.

Gorges de Amsed. Paysage pittoresque sur le haut Ghris, situé en aval de Tadighouste.

Gorges d'Assif N’Ouanfers. En aval d'Amouguer N’Aït Ihya.

Gorges de l'End. Zaouiat Sidi Hamza.

  

Grottes :

 

Grottes Akhiam d'Imilchil. Grande grotte où jaillit la Source d’Akhiam, située à 9 km du Ksar Agdal et  

à 50 km du centre d’Imilchil. Accessible à partir de la piste reliant Imilchil à Aït Hani.

 Grotte Titaouine. Ce tunnel en pente accuse une profondeur d’environ 100 m, une hauteur de 1 à 3 m  

et une largeur de 1 à 2 m. Le fond spacieux de la grotte s’étend sur 200 m² et s’élève jusqu’à 6 m de  

hauteur. Étant donné l’obscurité totale, de l’éclairage est indispensable pour l’exploration. La grotte est  

située au pied du Mont El Ayachi, à 4 km du Ksar Tazrouft, à proximité d’un grand ravin nommé Akka  

Titaouine. Accès par la piste reliant N’zala et Zaouiat Sidi Hamza.

Grottes Ifri Nouadou. Les grottes sont localisées dans un site montagneux qui présente des risques  

d’éboulement en hiver et d’inondation pendant les crues de la rivière Ghris. Les grottes sont situées au  

pied du Mont Bourouh, à proximité du Ksar Tahamdount à Tadighoust.

Grottes Bouazmou. Site montagneux à 2 km du Ksar Ifgh, annexe d’Aghbalou N’Kerdous, Tinejdad.  

Accès à 900 m de la piste reliant Aghbalou N’Kerdous à Tinejdad.

Grottes de la « Panthère ». Site d'intérêt géologique, à proximité de la rivière Tizguite. A 5 km d'Ifrane.

Grottes Ifri N’Tikalaline. Site montagneux Mont Tikalaline à proximité du Ksar Akrouz à Mellaâb.  Accès difficile sur 2 km.

Grottes Ifri N’Mimount. Les gorges sont situées dans un site montagneux, au pied du Mont Mimount,  

à partir d’une piste sablonneuse qui s’étend sur 800 m entre Touroug et Mellaâb. Risque naturel  

d’inondation des crues de la rivière Ferkla.

Caf Aziza. Cette grotte, la grande de la province, est remplie d’eau. Boudnib sur la RS 3469 à 2,5 km  de la RP32 à partir du pont Tazougart sur la rive droite de la rivière Guir.

Désert et palmeraies :

Dunes de sable Merzouga. Connues sous le nom d'Erg Chebbi, les dunes de Merzouga s’élèvent  

jusqu’à 100 m de hauteur et s’étendent sur plus de 30 km. De nombreux touristes s’y rendent pour Y  

prendre un bain de sable et bénéficier de ces vertus thérapeutiques, mais aussi et surtout pour admirer  

le lever et le coucher du soleil. À dos de chameaux ou en véhicule tout terrain, on peut visiter les oasis  

avoisinantes. Plusieurs auberges sont établies dans les environs et proposent des excursions de tous  

genres. A 50 km d'Erfoud et à 40 km de Rissani

 

Palmeraie de Ziz. Considérée comme la plus longue palmeraie du monde, elle occupe 60 % de  

l'espace oasien de la région et s’étend sur plus de 150 km le long de la RP21 vers Rissani. Très beaux  

paysages.

 

Palmeraie de Jorf, Mellaab et Touroug. Cette palmeraie offre un paysage minéral pittoresque,  

ponctué d’oliviers, sur les rives de la rivière Ghris. Le système d’irrigation local est impressionnant. Sur  

la route reliant Tinejdad à Erfoud.

 

Palmeraie de Goulmima. Curiosité naturelle et architecturale, marquée par l'existence de ksours,  

habitations en pisé que l’on retrouve traditionnellement dans les palmeraies. Possibilité de voir le  

fameux Ksar de Goulmima, situé en aval de la ville à 5 mn de route. À 60 km d'Errachidia.

 

Palmeraie du Tafilalet. Deuxième plus importante palmeraie du Maroc, la palmeraie du Tafilalet  compte 1 250 000 palmiers dattiers.

 Sites naturels :

Balcon de Tigrigra (belvédère d’Itto). Vue splendide sur la plaine de Tigrigra. Le belvédère est situé à 15 km sur la route Azrou-El Hajeb. Possibilité de voir les anciens volcans.

Panorama de Tizi N’tghatem. À 1 934 m d’altitude, il offre une vue splendide sur la vallée de Tizguit.  Situé à 10 km d’Ifrane vers Michlifen.

Tsfoula. Situé à 32 km d’Ifrane, ce site est ponctué de magnifiques roches géologiques et pourrait  être exploité dans l'industrie cinématographique.

Paysage d'Ajaâbou. Ce site, classé patrimoine national, domine la localité d'Aïn Leuh. Point d'attraction et d'animation touristique. A 47 km d'Ifrane et à 30 km d'Azrou.

Chaîne de Zerhoune. Magnifique espace naturel composé de montagnes et de collines, recouvertes 

de forêts et de ruines romaines. Excellent endroit pour pratiquer le vélo ou effectuer des randonnées  

pédestres et équestres.

Causse. Endroit idéal pour la pratique du deltaplane. El Hajeb.

Forêts. Classée parmi le patrimoine universel de l’humanité par l’Unesco, la cédraie du Moyen Atlas  

s’étend sur plus de 110 000 ha. La province d’Ifrane renferme également des forêts de genévriers, de  

chênes et de pins, mais aussi d’érables et de conifères en raison de son climat qui s’apparente  

davantage à celui des pays nordiques.

Forêts. La province de Khénifra possède de nombreuses forêts de genévriers et de thuya, un bois 

précieux utilisé dans l’ébénisterie marocaine, ainsi que de nombreux chênes, dont le chêne liège.

Tizi Oughmari. Offre une vue panoramique sur les reliefs avoisinants. A 9 km sur la route reliant Ifrane à Azrou.

Kharzouza. Site panoramique, remarquable pour ses forêts, son relief et ses falaises. À 9 km d'Azrou 

vers Aïn Leuh sur la route de Midelt.

Montagne de Timehdite. À 1 935 m d’altitude, il offre une vue splendide sur le village de Timehdite et le lac Tidouite. À 2 km du centre de Timehdite.

Centre Aïn Leuh. Agglomération locale typique, localisée à 45 km d'Ifrane et à 28 km d'Azrou. Possibilité de créer des gîtes d'étapes.

Vallée des Roches (roches des chauves souris). Remarquable pour ses rochers calcaires, façonnée 

par l'érosion et caractérisée par ses grottes peuplées de chauve-souris. À 5 km d'Ifrane vers  

Boulmane, ce site pourrait être exploité dans l'industrie cinématographique et touristique.

Station Michlifen. À 2 000 m d'altitude, en pleine forêt de cèdres, cette station de ski est la plus 

fréquentée du Moyen Atlas et la température peut atteindre –30°C en hiver. À 17 km d'Ifrane vers  

Boulmane.

Stations Habri et Hibri. À 2 100 m d’altitude, les stations de ski alpin offrent des descentes de 50 à 200 m. Située à 27 km d'Ifrane et à 10 km de Michlifen.

Le Cèdre Gouraud. Le plus vieux de la race cèdrus atlantica, cet arbre est âgé de 9 siècles. Son sommet s’élève à 54 m et sa circonférence à la base s’étend sur 9 m. À 18 km d'Ifrane vers Azrou.

Vallée d'Oued Srou. Cette vallée présente un intérêt certain sur le plan écotouristique au niveau du massif forestier de Talaghine, caractérisé par une magnifique cédraie. Khénifra.

Plateau d'Ajdir. À 1 800 m d’altitude, ce vaste plateau enveloppé d’une belle et jeune cédraie, est 

accessible par la route de Khénifra Itzer. À 25 Km de Midelt. Le site pourrait être aménagé en camp  

d’entraînement pour les athlètes.

Zaouiat Sidi Hamza. Zone de montagne du haut Atlas Oriental, qui offre d’excellentes possibilités de randonnées pédestres et équestres, de pêche et de chasse. A 35 km de Rich.

Imilchil. Réputé pour ses lacs légendaires Isli et Tislite, riches en poissons et en truites. Imilchil.

Belvédère d'Oulad Chaker. Le belvédère offre une vue panoramique sur la Vallée de Ziz, la Palmeraie d'Oulad Chaker et ses ksours. À 30 km d'Errachidia sur la RP21 vers Erfoud.

 

Réserves biologiques :

Réserve de Gazelles. Réserve biologique de 1 000 ha qui comprend un enclos de 600 ha où viventune vingtaine de Gazelles Dorkas. A Tarda, à quelques km d'Errachidia.

Réserve de l'Outarde Houbara. Oiseau rare à vertus thérapeutiques dont la chasse est interdite. Errachidia.

Rivière Sidi Hamza. Classée parmi le patrimoine piscicole. Errachidia.

Assif Melloul. Classé parmi le patrimoine piscicole. Imilchil.

Forêt de M'ssissi. Site d'Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE). Alnif.

Lacs Isli et Tislite. Au coeur du Haut Atlas Oriental, à 2 270 m d’altitude, les lacs sont situés dans un 

site d’intérêt biologique et écologique. À 5 km d'Imilchil. 

vous propose, loin des flots touristiques.  

Des randonnées dans des contrées méconnues et sauvages, une région attrayante pour le climat, le relief, la géologie, la géomorphologie et la couverture végétale.

 

mahi_abdellah@yahoo.fr / www.odyssees.net/mahi  / marva.blog4ever.com 

Pastoralisme_vers_Midelt 

 

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Moyen Atlas Maroc
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